Vous êtes en conflit avec votre conjoint, vos enfants majeurs, vos parents, vos frère(s)/sœur(s), autres membres de votre famille ?
Ce conflit impacte vos relations, voire entraîne une rupture ? Votre qualité de vie s’en ressent ?
Vous êtes dans l’un des cas suivants ou dans une situation apparentée !
Au sein de votre couple et avec vos enfants :
- Vous vous séparez de votre conjoint et ça se passe mal
- Vous n’arrivez pas à communiquer dans l’intérêt de vos enfants
- Vous voulez mettre en place une résidence alternée mais l’autre parent s’y oppose
- Vous avez des droits de visite et d’hébergement mais ils ne sont pas respectés
- Vous avez besoin d’un soutien à la coparentalité
- Vous voulez que la séparation se fasse dans de bonnes conditions, et éviter un procès
- Vous êtes devant le juge des enfants et la mesure d’assistance éducative n’est pas suffisante pour communiquer avec l’autre parent
- Votre adolescent est en opposition avec vous et le dialogue est inexistant ou difficile
- Vous êtes en conflit avec votre enfant majeur à charge qui vous demande une contribution financière pour son logement et ses études
- Vous ne vous entendez pas avec les grands parents qui demandent à voir vos enfants
- Vous ne vous entendez pas avec le père/la mère de votre enfant handicapé sur les modalités de sa prise en charge
- Vous n’arrivez pas à être reconnu(e) et accepté(e) au sein de votre famille recomposée par les enfants de votre nouveau conjoint
Au sein de votre famille élargie (parents / frères et sœurs) :
- Vous n’êtes pas d’accord avec vos frère(s) et sœur(s) sur la prise en charge de vos parents en perte d’autonomie (aide à domicile / Ehpad)
- Vous estimez devoir mettre votre mère (père) sous tutelle ou curatelle mais vos frère(s) et sœur(s) ne veulent pas
- Vos parents vous demandent une pension alimentaire que vous estimez injustifiée ou trop lourde
- L’Ehpad vous demande de contribuer aux frais parce que la retraite est insuffisante ce qui vous met en difficulté
Concernant les biens et les successions :
- Après la séparation, vous vous opposez avec votre ex-conjoint sur le partage de votre communauté (ou de votre indivision)
- Votre ex-conjoint se maintient sans votre accord dans l’ancien domicile conjugal (ou familial) que vous voulez vendre
- Il/elle ne veut pas payer d’indemnité d’occupation
- Il/elle n’entretient pas le logement qu’il occupe
- Il/elle est parti(e) avec les meubles
- Vous voulez faire reconnaitre le caractère propre de certains biens pour les reprendre
- Vous estimez avoir droit à une récompense dans le partage
- Vous n’êtes pas d’accord avec vos frère(s) et sœur(s) ou leurs ayants-droits sur le partage de la succession de vos parents
- Votre frère demande un salaire différé pour avoir travaillé des années sur l’exploitation familiale
- Vous voulez l’attribution préférentielle d’un bien
- Vous pensez que l’assurance vie de vos parents doit être réintégrée dans le partage successoral
- Vous contestez le testament de votre père ou mère
- Vous estimez qu’un de vos frère/sœur a été favorisé en recevant des donations que vous jugez excessives
- Vous voulez vendre les biens dépendant de la succession mais le reste de la fratrie s’y oppose
- Vous pensez que l’un des héritiers a pris indûment les bijoux, les tableaux ou les meubles de famille que vous revendiquez
- Vous êtes le conjoint survivant et rencontrez des difficultés avec les autres héritiers
ATTENTION : la médiation n’est pas envisageable en cas de violences intrafamiliales (du fait de la Loi).
Vous êtes dans une situation familiale, qui n’est pas inventoriée, mais qui s’apparente à l’une d’elles.
Vous voulez vous en sortir au mieux ?
La mise en place d’un processus de médiation est possible et présente de nombreux avantages ; voici 6 bonnes raisons de choisir plutôt la médiation ?
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